24ème concours des Meilleurs Jeunes Boulangers de France

24eme concours du « meilleur jeune bou­lan­ger de France » les 3, 4 et 5 novembre 2004

16 can­di­dats de moins de 21 ans, issus de qua­li­fi­ca­tions régio­nales, se par­ta­ge­ront le titre de « Meilleur jeune bou­lan­ger de France » les 3, 4 et 5 novembre. Cette 24ème édi­tion du concours aura lieu à  l’E­cole Fran­çaise de Bou­lan­ge­rie d’Au­rillac et Ins­ti­tut de For­ma­tion Pro­fes­sion­nelle et Per­ma­nente (Can­tal).

En huit heures, ces jeunes moti­vés et pas­sion­nés par leur métier pas­se­ront quatre épreuves :
Fabri­ca­tion de pain de consom­ma­tion cou­rante de tra­di­tion fran­çaise (décret n° 93–1074 du 13 sep­tembre 1993).
Fabri­ca­tion de deux sortes de pains spé­ciaux dont du pain de campagne.
Confec­tion de vien­noi­se­ries clas­siques (crois­sants, brioches, pains au cho­co­lat¦) et de pro­duits de vien­noi­se­rie com­plé­men­taires au choix du candidat.
Ela­bo­ra­tion d’un tra­vail artis­tique sur pâte morte sur le thème du cirque.

Outre l’in­dis­pen­sable maî­trise du savoir-faire bou­lan­ger, les capa­ci­tés d’in­ven­ti­vi­té des can­di­dats sont prises en compte et valorisées. 

La bou­lan­ge­rie-arti­sa­nale manque cruel­le­ment de bras. Elle a besoin de voca­tions et de jeunes prêts à  s’in­ves­tir. Par ce concours, la Bou­lan­ge­rie-Pâtis­se­rie Fran­çaise veut « réaf­fir­mer le sérieux de ses car­rières. D’ap­pren­ti à  patron, les par­cours pro­fes­sion­nels sont diver­si­fiés et pro­gres­sifs. L’ar­ti­sa­nat bou­lan­ger du XXIè siècle réunit le manuel et l’in­tel­lec­tuel : dans la fabri­ca­tion du vrai pain, l’homme est en per­ma­nence au centre du pro­ces­sus. Les inno­va­tions tech­niques servent ses recherches et sa créa­ti­vi­té. La filière bou­lan­ge­rie forme des chefs d’en­tre­prises à  la mesure des enjeux natio­naux et inter­na­tio­naux que génère la qua­li­té du pain français. » 

Les can­di­dats au concours des Meilleurs Jeunes Bou­lan­gers de France ont tous une for­ma­tion de niveau V (CAP-BEP). Comme pour le Concours des « Meilleurs Ouvriers de France », seuls ceux dont la note est supé­rieure ou égale à  16/20 obtiennent le titre.

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