Portrait Alexandre Lécuyer

Alexandre Lécuyer Délégué de la région 1 depuis 2005

Adhé­rent depuis 2001
48 ans

Pourquoi le métier de boulanger :

J’ai tou­jours vou­lu deve­nir bou­lan­ger. Dès l’âge de trois ans, je par­tais faire les tour­nées tous les mer­cre­dis, avec le bou­lan­ger du village.

Parcours professionnel avant l’enseignement :

Bre­vet de Maî­trise en bou­lan­ge­rie BM niveau 5 en 2014
CAP pâtis­sier, cho­co­la­tier, gla­cier, confi­seur obte­nu en can­di­dat libre en 1995
Bre­vet de Maî­trise niveau 4 en bou­lan­ge­rie option trai­teur en 1994
Bre­vet Pro­fes­sion­nel en bou­lan­ge­rie en 1994
Meilleur jeune ouvrier bou­lan­ger de l’Aisne et de Picar­die en 1992
CAP bou­lan­ger en 1992

Parcours professionnel dans l’enseignement :

Depuis sep­tembre 2020 : Pro­fes­seur en bou­lan­ge­rie à l’antenne for­ma­tion de Cau­dry (CMA Hauts de France)
Jan­vier 2020 : Res­pon­sable d’unité péda­go­gique Farine et Sucre pour l’ensemble de la région Hauts de France
Novembre 2014 : Pro­fes­seur en bou­lan­ge­rie à l’antenne de for­ma­tion de Caudry
Sep­tembre 2001 : Pro­fes­seur en bou­lan­ge­rie au CFA de Prouvy-Rouvignies
Octobre 1996 : Pro­fes­seur en bou­lan­ge­rie vaca­taire au CEFMA de Tour­coing et contrac­tuel de 1998 à 2001.

Réussites aux concours avec les apprenants :

Meilleur crois­sant de France 2010 et 2022 et plu­sieurs fois sur le podium

7 titres consé­cu­tifs de Meilleur Appren­ti de France (2005–2012)
Meilleur Appren­ti Inter­na­tio­nal (IBA CUP) en 2012
3 fois fina­listes aux Olym­piades des Métiers

Produit préféré :

Un bon feuille­tage, une bonne crème pâtis­sière, c’est-à-dire un bon mille-feuille.

Anecdote :

Sur la route du concours crois­sant en 2012, mon appre­nant (Dylan Parent) et moi sommes res­tés blo­qués plus de 6 heures sur l’autoroute de Paris der­rière un camion ayant per­du les blocs de béton qu’il trans­por­tait. Après l’heure, c’est plus l’heure : nous sommes ren­trés sans même participer.
La moti­va­tion de Dylan est res­tée intacte, cette année-là il ter­mine 1er (en équipe avec Maxi­mi­lien Têtard) à l’IBA CUP de Munich.

Regard sur l’AAINB :

Chaque membre de l’association apporte son savoir, son expé­rience, ses connais­sances. Les échanges sont riches et nom­breux. Il faut veiller à ce que l’asso reste un lieu de par­tage et de res­sources et ne devienne pas une « banque de données ».
Cerise sur le gâteau : la convi­via­li­té est de mise lors des AG.

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